Avec leur nouvel album, Puts Marie emmène le public dans des pigeonniers artisanaux, des hôtels en ruine et des sex-clubs sombres. Des sons, des bruits et des rythmes provenant d'horizons divers s'assemblent pour former des tableaux d'ambiance sombres avec une esthétique singulière et sans compromis, loin des structures classiques des chansons. Souvent calme, toujours intense, de temps en temps à la dérive et même aussi avec un soupçon de beauté triste et séduisante. Si l'on ose y plonger, on est captivé et on ne peut plus s'en détacher.
Sur le nouvel album « Pigeons, Politicians & Pin-Ups During the Endtime of Mankind », sorti en septembre, les cinq musiciens mélangent de manière ciblée et avec la bonne mesure le large éventail d'ingrédients de leur placard de cuisine pour créer un son profond qui leur est propre. Un album obstiné qui emmène l'auditeur dans un voyage le long d'abîmes menaçants, mais qui ne le laisse jamais tomber et laisse toujours apparaître une lueur d'espoir à l'horizon.