Leur musique est violente, nécessaire et sincère - comme l’adolescence. Et ce n’est pas étonnant : leur album “A Place For My Hate”, c’est aussi un regard sur les teenage years, celles de leurs chambres amiénoises habillées de posters de Nine Inch Nails, Deftones, Linkin Park ou encore Nirvana.
“A Place For My Hate”, un premier album bâti pour le live, est une déclaration à ce qui nous sauve d’une société hideuse et injuste : l’amour. En confessant ses émotions même les plus orageuses sur leur musique mutante, nerveuse, sincère et cathartique, Structures a trouvé le remède et le bon endroit pour l’abandon - ne serait-ce qu’un peu. Oui : la colère, la vanité, la passion et les inégalités donnent envie de se taper la tête contre les murs. Alors autant le faire sur ceux des salles de concerts.